Ah ! délire infini
nommé désir.
Cet appétit de caresses et de baisers.
Cette soif insatiable d'amour.
Ah ! Cette lutte des corps en sueurs
ardents et passionnés,
gémissant par ce désir intense
de se donner totalement.
Ah ! Soudain le temps s'arrête
dans la douleur de la jouissance qui explose.
C'est la vie, c'est la vie, c'est la vie
et c'est bien plus.
Et ce visage souriant
miroir de mon volcan d’allégresse.
Je t'aime, mon amour
ne me délaisse jamais.
Je sens l'enfant s'épanouir.
Comme il est bon
d'être cette femme.
La sainte maturité de l'innocence.
Et comme ce fût délicieux et à
jamais le sera.
Et ce qui m'importe le plus
c'est de maintenir cette flamme.
Même lorsque je ne le pourrais plus.
Et peu m'importe
si même Dieu ne le veut pas.