Il y a là la peinture,
des oiseaux, l’envergure
qui luttent contre le vent.
Il y a là les bordures,
les distances, ton allure,
quand tu marches juste devant.
Il y a là les fissures,
fermées les serrures,
comme envolés les cerfs-volants.
Il y a là la littérature,
le manque d’élan,
l’inertie, le mouvement.
Parfois, on regarde les choses
telles qu’elles sont
en se demandant pourquoi.
Parfois, on les regarde
telles qu’elles pourraient être
en se disant pourquoi pas.
Il y a là, là, là...
Si l’on prenait le temps.
Si l’on prenait le temps.
Il y a là la littérature,
le manque d’élan,
l’inertie, le mouvement.
Parfois, on regarde les choses
telles qu’elles sont
en se demandant pourquoi.
Parfois, on les regarde
telles qu’elles pourraient être
en se disant pourquoi pas.
Il y a là les mystères,
le silence sous la mer
qui luttent contre le temps.
Il y là les bordures,
les distances, ton allure
quand tu marches juste devant.
Il y a là les murmures,
un soupir, l’aventure,
comme emmêlés les cerfs-volants.
Il y a là la littérature
le manque d’élan,
l’inertie, le mouvement.
Parfois, on regarde les choses
telles qu’elles sont
en se demandant pourquoi.
Parfois, on les regarde
telles qu’elles pourraient être
en se disant pourquoi pas.
Parfois, on regarde les choses
telles qu’elles sont
en se demandant pourquoi.
Parfois, on les regarde
telles qu’elles pourraient être
en se disant pourquoi pas.