Tu me manques, tu me manques tellement.
Cette douleur est grande (intemporelle, sans limite).
Tu me manques, tu me manques tellement.
Cette douleur est grande (intemporelle, sans limite).
Tu me manques tellement que ça fait mal
Je t’aimerai toujours, ça va pas changer.
Je vais te tenir, même si t’es déjà loin.
Et quand tu fermes les yeux, tu te souviens à qui tu appartiens.1
Tu me manques, tu me manques tellement.
Cette douleur est grande (intemporelle, sans limite).
Tu me manques, tu me manques tellement.
Cette douleur est grande (intemporelle, sans limite).
Un autre pays essaye de te posséder, je vais pas te laisser partir.
Même si tu te souviendras pas de moi, je t’aimerai encore.
Je vais te tenir, même si t’es déjà loin.
Et quand tu fermes les yeux, tu sentiras que je suis là.
Tu me manques, tu me manques tellement.
Cette douleur est grande (intemporelle, sans limite).
Tu me manques, tu me manques tellement.
Cette douleur est grande (intemporelle, sans limite).
(Tu me manques, tu me manques tellement.)
Tu me manques, tu me manques tellement.
Cette douleur est grande (intemporelle, sans limite).
Tu me manques, tu me manques tellement.
Cette douleur est grande (intemporelle, sans limite).
Tu me manques tellement.
1. À comprendre comme : « Tu sais que ta place est avec moi. »