Et, malgré tout, les gens s'en vont toujours plus
Laissant un arrière-goût amer dans les espaces de l'âme.
Ainsi, nous apprenons qu’en vivant, nous mourons
Et nous sommes choqués que cette loi soit si certaine.
Oh, mon amour ! Si grâce à l’amour, je pouvais m’échapper d’ici
Jusqu'à mon Paradis de rives sereines,
Je reviendrais ouvrir en grand les ailes blanches de demain
Pour toujours plus... Pour toujours plus
Avec toi... avec toi...
Ainsi donc, je défais mes bagages pour les adieux,
Je détache les pauvres nœuds qui me lient à cette terre.
Je vivrai en regardant tes yeux, car c’est seulement
En eux que je peux profiter de l'aventure de vivre...
Oh, mon amour ! Si je pouvais ressentir à nouveau, par amour,
Cette passion forte et la peau de tant d’absences,
Je reviendrais ouvrir en grand les ailes blanches de demain
Pour toujours plus... Pour toujours plus avec toi...
Pour toujours plus avec toi...!
Tout ce que je te dis n’a aucun sens si je reste debout,
Pourtant, c'est aussi clair que la lumière de la mer, si je mène le bateau.
Je viens d’un monde d’aventures et de naufrages,
Et j’aime si ma chanson fait se lever le vent !
Oh, mon amour ! Si grâce à l'amour je pouvais laisser tout en dehors,
Brûlant tout mon passé pour renaître,
J'ouvrirais lentement en grand les ailes blanches de demain
Pour toujours plus... Pour toujours plus avec toi...
Et malgré tout, les gens s'en vont...
Ils s'en vont toujours plus !
Et malgré tout, malgré tout
Oh, ils s'en vont, ils s'en vont !
Et, malgré tout...