mes démons me supplient d'ouvrir ma bouche,
j'ai besoin d'eux, mécaniquement, pour que les mots sortent,
ils me combattent, vigoureux et énervés, regardes les se jeter sur moi,
me provoquer, en léchant les flammes qu'ils apportent.
j'ai vendu mon âme pour un trois-pièce
et il m'a dit que j'étais une sainte,
il m'a mis à terre, sur les deux genoux
mais c'est le diable qui essaie.
enfonces-moi, enfonces-moi,
glisses-toi par la porte de derrière, ne fais pas de bruit.
assommes-moi, assommes-moi,
en disant que j'en veux plus, c'est pourquoi je vis.
enfonces-moi, enfonces-moi,
jettes-moi dans les profondeurs marines, regardes-moi couler.
assommes-moi, assommes-moi,
en disant que j'en veux plus, c'est pourquoi je vis.
égoïste, je prend ce que je veux et l'appelle mien,
je suis impuissante, m'accrochant à une toute petite épine.
ils me pressent, me disant que je manque de temps,
ils me font taire, m’accompagnant à travers les frontières fragiles.
j'ai vendu mon âme pour un trois-pièce
et il m'a dit que j'étais une sainte,
il m'a mis à terre, sur les deux genoux
mais c'est le diable qui essaie.
enfonces-moi, enfonces-moi,
glisses-toi par la porte de derrière, ne fais pas de bruit.
assommes-moi, assommes-moi,
en disant que j'en veux plus, c'est pourquoi je vis.
enfonces-moi, enfonces-moi,
jettes-moi dans les profondeurs marines, regardes-moi couler.
assommes-moi, assommes-moi,
en disant que j'en veux plus, c'est pourquoi je vis.
enfonces-moi maintenant, enfonces-moi maintenant, enfonces-moi.
j'ai vendu mon âme pour un trois-pièce
et il m'a dit que j'étais une sainte,
il m'a mis à terre, sur les deux genoux
mais c'est le diable qui essaie.
enfonces-moi, enfonces-moi,
glisses-toi par la porte de derrière, ne fais pas de bruit.
assommes-moi, assommes-moi,
en disant que j'en veux plus, c'est pourquoi je vis.
enfonces-moi, enfonces-moi,
jettes-moi dans les profondeurs marines, regardes-moi couler.
assommes-moi, assommes-moi,
en disant que j'en veux plus, c'est pourquoi je vis.