Le chemin de fer va par un pays inconnu
devant des champs dorés, des rivières profondes jusqu’à la plage.
Le rideau devant la fenêtre flotte à travers le compartiment.
Et tu me manques parce que ...
... tu es ma patrie et ma maison,
parce que mon mal de ventre s’arrête chez toi.
Tiens-moi, tiens-moi fort.
Fais comme si cela restait ainsi pour toujours,
restait ainsi pour toujours, restait ainsi pour toujours, restait ainsi pour toujours.
Je n’ai pas besoin d’une boussole ni d’un sextant,
Je retrouve toujours mon chemin vers toi.
Je reviens parce que je t’aime bien.
La tête sur ton genoux, comme une colombe dans son colombier.
Parce que tu es ma patrie et ma maison,
parce que mon mal de ventre s’arrête chez toi.
Tiens-moi, tiens-moi fort.
Fais comme si cela restait ainsi pour toujours,
restait ainsi pour toujours, restait ainsi pour toujours, restait ainsi pour toujours.
Le soleil dans mes voiles.
Le soleil sur mon chemin.
Le soleil dans les arbres.
Le soleil pour toi.
Tiens-moi, tiens-moi forte.
Fais comme si cela restait ainsi pour toujours,
restait ainsi pour toujours, restait ainsi pour toujours, restait ainsi pour toujours.