Minuit et demi
Et je regarde un programme du soir dans mon appart’ toute seule
Qu’est-ce que je déteste passer la soirée seule
Les vents d’automne
Soufflant dehors pendant que je regarde autour de la pièce
Et ça me rend si déprimée de voir l’obscurité1
Il n’y a pas âme qui vive là-dehors
Personne pour entendre ma prière
Donnez, donnez, donnez-moi un homme après minuit
Personne ne va donc m’aider à chasser les ombres ?
Donnez, donnez, donnez-moi un homme après minuit
Accompagne-moi à travers les ténèbres jusqu’au lever du jour
Les stars de cinéma
Trouvent la fin de l’arc-en-ciel, avec un trésor à gagner
C’est si différent du monde dans lequel je vis
Fatiguée de la télé
J’ouvre la fenêtre et je regarde dans la nuit
Mais il n’y a rien à y voir, personne en vue
Il n’y a pas âme qui vive là-dehors
Personne pour entendre ma prière
Donnez, donnez, donnez-moi un homme après minuit
Personne ne va donc m’aider à chasser les ombres ?
Donnez, donnez, donnez-moi un homme après minuit
Accompagne-moi à travers les ténèbres jusqu’au lever du jour
Donnez, donnez, donnez-moi un homme après minuit...
Il n’y a pas âme qui vive là-dehors
Personne pour entendre ma prière
Donnez, donnez, donnez-moi un homme après minuit
Personne ne va donc m’aider à chasser les ombres ?
Donnez, donnez, donnez-moi un homme après minuit
Accompagne-moi à travers les ténèbres jusqu’au lever du jour
1. Ou, plus figurativement, « la morosité ».