Il y a un monde étrange
Bizarre, singulier
Il tourne continuellement
Il fait mille tours, il ne peut pas s'arrêter
Un monde complexe
Qui cache ses secrets
D'où l'on vient
Puis ensuite où l'on ira
Qui impose les normes, qui décide
Qui a raison
Nous sommes juste des gens, des gens
Beaucoup de gens.
Qui sourient et pleurent à l'intérieur
Qui s'en est allé et qui aujourd'hui te manque
Des gens qui t'aiment
Des gens qui te blessent
Des gens qui sont seuls bien qu'il y ait beaucoup de gens
Qui défient l'inégalité
Qui sont malade d’imbécillité
Qui nient ce qu'ils ont promis
Des gens dominants
Des gens indifférents
Il y a un monde blessé
Qui commence à saigner
Qui continue à tourner
Il demande moins que ce qu'il nous a donné
Si décompensé
Si mal géré
Monde d'injustices
Monde qui va mal
Qui bouge les ficelles, qui décide
Qui a raison
Nous sommes juste des gens, des gens.
Qui sourient et pleurent à l'intérieur
Qui s'en est allé et qui aujourd'hui te manque
Des gens qui t'aiment
Des gens qui te blessent
Des gens qui sont seuls bien qu'il y ait beaucoup de gens
Qui défient l'inégalité
Qui sont malade d’imbécillité
Qui nient ce qu'ils ont promis
Des gens dominants
Des gens indifférents.
Nous sommes beaucoup de gens
Des gens, différents
Nous sommes beaucoup, nous sommes des gens
Tant de gens, des gens différents
Beaucoup de gens
Qui sourient et pleurent à l'intérieur
Qui s'en est allé et qui aujourd'hui te manque
Des gens qui t'aiment
Des gens qui te blessent
Des gens qui sont seuls bien qu'il y ait beaucoup de gens
Qui défient l'inégalité
Qui sont malade d’imbécillité
Qui nient ce qu'ils ont promis
Des gens dominants
Des gens indifférents.
Beaucoup de gens.