[Intro]
Yeah !
Et peut-être, et peut-être, et peut-être, et peut-être
[Strophe 1]
Avec toi, j'étais bien réveillé, maintenant je suis fatigué
Ce que tu fais mouvoir reste immobile avec moi
Les mots me manquent rarement, mais je suis souvent silencieux
Je sais que tu le comprendrais
Un nous pour la vie entière, comme promise dans le sable
Lorsque nous nous en irons, cela subsistera
Nous avons souvent écrit, tenté de diviser le temps
Mais tout comme maintenant, c'était souvent douloureux
[Refrain]
Mais peut-être
Est-ce là le contraire de la tristesse
Et peut-être
Avoir le mal de quelqu'un est-il comme être reconnaissant
Et cela reste, oh cela reste, oh cela reste
Pour moi, le contraire de la tristesse
Oh tu restes, oh tu restes, oh tu restes
Pour moi le contraire, le contraire, le contraire
De la tristesse
[Strophe 2]
Hé, nous étions autrefois ce que beaucoup n'ont jamais été
Nous étions un royaume tout entier
Sans peur ni palais, sans soucis, sans fardeau
Et sans règles - tout était libre
Mais tout comme maintenant, c'était souvent douloureux
[Refrain]
Mais peut-être
Est-ce là le contraire de la tristesse
Et peut-être
Avoir le mal de quelqu'un est-il comme être reconnaissant
Et cela reste, oh cela reste, oh cela reste
Pour moi, le contraire de la tristesse
Oh tu restes, oh tu restes, oh tu restes
Pour moi le contraire, le contraire, le contraire
De la tristesse
Pour moi le contraire, le contraire, le contraire
De la tristesse
[Pont]
Oh, et les souvenirs deviennent des gouttes sur la fenêtre
Qui glissent lentement
Et la lumière les brise en mille questions
Auxquelles je ne peux apporter aucune réponse
[Refrain]
Mais peut-être
Est-ce là le contraire de la tristesse
Et peut-être
Avoir le mal de quelqu'un est-il comme être reconnaissant
Et cela reste, oh cela reste, oh cela reste
Pour moi, le contraire de la tristesse
Oh tu restes, oh tu restes, oh tu restes
Pour moi le contraire, le contraire, le contraire
De la tristesse
De la tristesse
Pour moi le contraire, le contraire, le contraire