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Du milieu de la clarté
De ce jour de tristesse où,
// Grande est la cité,
Personne qui me connaisse //
Se tournèrent alors vers moi
Deux beaux yeux que plus tard
// Je crus avoir rêvé, je vis
Deux yeux incomparables. //
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J’ai senti dans tout mon être
Les présages d’un adieu
// Et ces yeux qui étaient si beaux
Se détournèrent des miens. //
Je m’éveille. La clarté
Est plus forte mais plus froide
// Grande est la cité,
Et personne qui me connaisse //