Tango, tango, c'est le tango, tango,
tango, tango, c'est le tango, tango.
Tango, tango, c'est le tango, tango,
tango, tango, c'est le tango, le tango.
Tango, tango, c'est tango, tango,
tango, tango, c'est le tango, le tango.
Attends, à la lune solitaire,
retournent les nuages de loin
et je sais combien leur voyage est long.
Attends, et après tu comprendras enfin
que par la porte ouverte passe
seulement le tango des cœurs brisés.
Comme un bal brillant, la vie a filé,
mais je n'ai pas pu y participer ;
tu sais aussi comment je t'ai attendu,
comment je t'ai attendu.
Tango, tango, c’est le tango, tango.
Je me jette dans la nuit pour te rattraper
et te dire que tout peut être récupéré,
et même s’il est tard, ce n’est pas fini.
Tango, tango, c’est le tango, tango.
Mais ce qui vole vers moi sont des jets de glace
et il me semble que je prends le mauvais chemin
et je tournoie dans un cercle d’anneaux liés,
car ce tango est le tango des cœurs brisés.
Comme un bal brillant, la vie a filé,
mais je n'ai pas pu y participer ;
tu sais aussi comment je t'ai attendu.
Mais les vagues ont emporté le palais de sable,
et sur le rivage vide sonne
seulement le tango des cœurs brisés.
Tango, tango, c’est le tango, tango.
Tango, tango, c’est le tango, tango.
Je me jette dans la nuit pour te rattraper,
mais je réalise que je reste et ne peux pas courir,
je réalise aujourd'hui que c’est passé déjà hier.
Tango, tango, c'est le tango, tango.
Et je ne suis plus celui qui t'ai connu,
je vais diviser en deux tout ce que j'ai
et là où le vent souffle sur les vagues je l'enverrai.
Tango, tango, c'est le tango, tango.
Tango, tango, c'est le tango, tango,
tango, tango, c'est le tango, tango.
Tango, tango, c'est le tango, tango,
tango, tango, c'est le tango, le tango.
Tango, tango, c'est le tango, tango,
tango, tango, c'est le tango, le tango,
tango, tango, c'est le tango, tango.