Et alors, tu t’en vas, peut-être, tu me manqueras
On ne peut pas vivre seul
Je t’aime, rien d’autre.
Il n'y a plus besoin d'inventer
les soirs pour pouvoir t'amuser
l’excuse des jeans qui te serrent,
Et pour conclure toujours en faisant l'amour.
Et il n’y a plus la lune qui nous regarde,
tu l’avais bien dit qu’elle était un peu menteuse,
le vent qui portait ton parfum
La folle envie de recommencer
Pleureras-tu ? peut-être oui, peut-être pas,
si tu ne pleureras pas
Ecriras-tu ? peut-être pas, peut-être oui,
si tu m’écriras
Où iras-tu ? peut-être ici, peut-être labas,
te retrouverais-je ?
Y seras-tu ? Peut-être un moment je t’attendrais,
Et je ne peux plus te dire demain,
tu répétes mille fois que tu m’aimes,
Tu est douce, toi qui prends ma main,
Le sais-tu que personne n’est comme toi ?
Comme l’enfant qui ne sait pas parler,
Reste près de moi, ne me quitte pas,
Pleureras-tu ? peut-être oui, peut-être pas,
si tu ne pleureras pas
Ecriras-tu ? peut-être pas, peut-être oui,
si tu m’écriras
Où iras-tu ? peut-être ici, peut-être labas,
te retrouverais-je ?
Y seras-tu ? Peut-être un moment je t’attendrais,
Et il n’y a plus la lune qui nous regarde,
tu l’avais bien dit qu’elle était un peu menteuse,
le vent qui portait ton parfum
La folle envie de recommencer
Il n'y a plus besoin d'inventer
les soirs pour pouvoir t'amuser
l’excuse des jeans qui te serrent,
Et pour conclure toujours en faisant l'amour.