Pardonne-moi mon Père, j'ai péché
L'obscurité a encore une fois enfoncé ses griffes peintes en moi
Sa vision noyée, tel le vin d'un office religieux,
Murmurait des baisers si divins
J'étais béni, mais maintenant je craque
Des nuages d'orage s'étendent au-dessus de nos têtes,
Au-dessus de leur maître
La fin de toute chair, la fin de tout jour
L'amour prédit le désastre
De ses précieuses façons
J'ai été brûlé, une âme sacerdotale
Par la Reine Démoniaque de mes rêves,
La passion s'est transformé en un contrôle total
Sa rose était douce,
Mais ses épines étaient barbares
"Aime-moi
Et vénère-moi,
Je te comblerai et t'enchanterai,
Satisferai tous tes vœux et tes fétiches, aussi
Plusieurs ne veulent jamais voir,
Plusieurs ne veulent jamais connaître
La vérité derrière leurs fantasmes,
Leurs besoins les plus profonds,
Et encore moins qu'on leur montre"
Pardonne-moi mon Père, j'ai péché
L'obscurité a encore une fois enfoncé ses griffes peintes en moi
Sa vision noyée, tel le vin d'un office religieux,
Murmurait des baisers si divins
J'étais béni, mais maintenant je craque
Il ne me reste qu'à courir
Sodome étend sa mort moderne
Sur des roulettes, toujours plus rapidement
La fin de toute chair, la fin de tout jour
Les étoiles prédisent le désastre
De leurs bâtardes façons
"Aime-moi
Et vénère-moi,
Je t'élèverai et te ferai mal, aussi
Je satisferai tous les vœux de mon triste Aladdin"
Elle vient à moi
Telle une tempête de sable dans un sablier,
Un tourbillon de désir
Je suis hypnotisé
En pensant par-delà ces pâles yeux,
Par-delà ces yeux qui peuvent arrêter ton coeur de battre
Et ces cuisses détrempée
J'ai l'habitude de tomber
Un sort maléfique qu'on m'a jeté,
Je suis complètement accro à elle
Malgré les horreurs en gestation
Sous sa beauté
"Je t'offrirai une vie bien au-delà de l'entendement,
L'envie de tous les autres hommes
Peu importe le vice, il te fera passer
L'éternité avec moi"
La concubine de Satan
Elle fait briller ses crimes du paradis
Pardonne-moi mon Père, j'ai péché
L'obscurité a encore une fois enfoncé ses griffes peintes en moi
Sa vision noyée, tel le vin d'un office religieux,
Murmurait des baisers si divins
J'étais béni, mais maintenant je craque