3d:
Dans des chaussures de ville
Des bleus nuls
Paye les vues
Et les nouvelles de personne
Des lames vont passer du sang aux sports
L'héroine fait les gens soupes au lait
Des fumeurs ont monté un porc colonial
Boit et encadre cette douleur je pense
Que je suis en train de fondre des perches d'argent ma chérie
Tu saignes tes ailes et puis tu t'évanouies
Les scénes émouvantes et les veilleuses
Des morceaux les ont en pesant des hauteurs
Des temps modernes viennent à me dénigrer
Et des lignes de combat sont faites dans cette ville
Des garcons parisiens sans vos noms
Des pierres de ghetto au lieu des chaînes
Dénigre-les parce que c'est en flammes
Et rien a changé
Des garcons parisiens sans vos noms
Se mutinent comme si c'était 1968 encore une fois
Les jours de rage, oui, rien a changé
Plus des belles flammes
Á l'école, j'ai simplement mordu ma langue
Et maintenant vos mots me frappent
Les drapeaux sont faux et ils se contredisent
Ils montrent et cliquent quelles blessures à lecher
Sur des avenues cette brise chrétienne
Tourne son coeur à plus des aiguilles s'-il-vous-plaît
Nos yeux se tournent en derrière et nous demandons encore plus
Ca râpe la peau et puis sous-tiret
Vous tournez et saignez le cas pour la guerre
Les cellules qui vous remplissez alimentent des économiseurs d'écran
Les filles qui vous produisez les feuilletons qui vous écrivez
Le charme inélegant de vos bécassines de gouttière
Les scènes émouvantes et les banlieusards
Et des morceaux les ont en pesant des hauteurs
Des temps modernes viennent à me dénigrer
Les lignes de combat sont faites dans cette ville
Des garcons anglais sans vos noms
Des pierre de ghetto au lieu des chaînes
Des coeurs et des têtes et des avions des États Unis
Rien a changé
Et des garcons anglais sans vos noms
Révoltent comme si c'était les années quatre-vingt encore une fois
Les jours de rage, oui, rien a changé
Encore plus des belles flammes