Oh, tu sais j'ai vu
Un ciel sans soleil
Un homme sans nation
Des saints, prisonniers de chaînes
Une chanson sans nom
Par manque d'imagination
Ya he...
Et j'ai vu
Plus noir que l'ébène
Ya he Ya he Ya la he
Et maintenant il semble, que
Je ne pourrais jamais exister sans tes yeux
Mon unique désir, tout ce à quoi j'aspire
C'est de vivre pour toujours dans tes yeux
J'ai voyagé au-dessus des sept océans
Il n'y a rien que je ne donnerais pas
Je suis partie de Bahreïn, arrivée à Beyrouth
À la recherche de quelqu'un à qui te comparer
En abattant fenêtres et portes
Et je n'ai pas pu trouver d'yeux comme les tiens
Je suis partie de Bahreïn, arrivée à Beyrouth
À la recherche de quelqu'un à qui te comparer
En abattant fenêtres et portes
Et je n'ai pas pu trouver d'yeux comme les tiens
Oh, tu sais j'ai vu
Une femme fortunée
En haillons et implorant du plaisir
J'ai traversé une rivière de sel
Juste après j'ai pris
Un navire qui a coulé dans le désert
Ya he Ya he Ya la he
Et j'ai vu
Plus noir que l'ébène
Ya he Ya he Ya la he
Et maintenant il semble, que
Je ne pourrais jamais exister sans tes yeux
Mon unique désir, tout ce à quoi j'aspire
C'est de vivre pour toujours dans tes yeux
J'ai voyagé au-dessus des sept océans
Il n'y a rien que je ne donnerais pas
Je suis partie de Bahreïn, arrivée à Beyrouth
À la recherche de quelqu'un à qui te comparer
En abattant fenêtres et portes
Et je n'ai pas pu trouver d'yeux comme les tiens
Je suis partie de Bahreïn, arrivée à Beyrouth
À la recherche de quelqu'un à qui te comparer
En abattant fenêtres et portes
Et je n'ai pas pu trouver d'yeux comme les tiens
rabboussamai fikarrajaii
fi ainaiha aralhayati
ati ilaika min haza lkaaouni
arjouka labbi labbi nidai
Je suis partie de Bahreïn, arrivée à Beyrouth
À la recherche de quelqu'un à qui te comparer
En abattant fenêtres et portes
Et je n'ai pas pu trouver d'yeux comme les tiens