Si l'automne est dans les nuages argentés,
C'est moi qui me languis de toi
Si le givre recouvre les rives escarpés,
C'est moi qui me languis de toi.
Si l'oiseau chante à la fenêtre,
C'est moi qui me languis de toi.
Si l'averse frappe à ta porte,
C'est moi qui me languis de toi.
Les séparations et les pertes
Je n'y crois pas, je n'y crois pas,
Je crois à l'amour terrestre
Et à l'immortalité de l'âme.
Je t'ai connu ainsi,
Toute ma vie, j'ai rêvé de toi,
Et à toutes mes amies j'ai dit
Que tu étais le meilleur des hommes!
Si la rosée pleure sur la fleur,
C'est moi qui me languis de toi.
Et que l'orage gronde au loin -
C'est moi qui me languis de toi.
Et que naît un perce-neige des forêts -
C'est moi qui me languis de toi.
Et que les arbres disent adieu à leur feuillage -
C'est moi qui me languis de toi.
Les séparations et les pertes
Je n'y crois pas, je n'y crois pas,
Je crois à l'amour terrestre
Et à l'immortalité de l'âme.
Je t'ai connu ainsi,
Toute ma vie, j'ai rêvé de toi,
Et à toutes mes amies j'ai dit
Que tu étais le meilleur des hommes!
Les séparations et les pertes
Je n'y crois pas, je n'y crois pas,
Je crois à l'amour terrestre
Et à l'immortalité de l'âme.
Je t'ai connu ainsi,
Toute ma vie, j'ai rêvé de toi,
Et à toutes mes amies j'ai dit
Que tu étais le meilleur des hommes!
Les séparations et les pertes
Je n'y crois pas, je n'y crois pas,
Je crois à l'amour terrestre
Et à l'immortalité de l'âme.
Je t'ai connu ainsi,
Toute ma vie, j'ai rêvé de toi,
Et à toutes mes amies j'ai dit
Que tu étais le meilleur des hommes...