Combien de temps avons-nous avant que ne reviennent ces vagues
Qui sont venus comme des goutes dans un silence si furieux;
Renversant les hommes parmi d'autres animaux,
Dévastant la soif de ces fourrés;
Dévorant les arbres, les pensées qui suivent
La ligne de ce qui a été écrit par la même lèvre si furieux.
Et si ton ami le vent ne te cherche pas
C'est parce qu'il en a traîné des foules.