Yeah yeah yeah yeah
Yeah yeah yeah yeah
Comme tous les ans cette année aussi l’hiver
a décidé de ne pas nous congeler éternellement.
Il s’est déjà pris un Valium
et est descendu en Enfer
et y reste pour le moment
Déjà avec la minijupe elle sort ce soir.
Plein de nouveaux espoirs est le printemps.
Il ressemble à une panthère, une panthère noire.
Et ça nous chatouille encore.
Je veux aller à la mer,
je ne peux plus attendre.
Le soleil sur la peau, la peau, la peau, les étoiles.
Je veux me souler1
de larmes de sel
et ne plus revenir
dans un été qui d’un coup fait fondre la mélancolie
un été qui rebondit et d’un souffle s’envole
nous le ferons atterrir2 dans cette mer sans nageoire
avec le cœur à l’intérieur de l’âme.
On bronze sous notre amour.
Sous notre amour.
Sous notre amour.
Je veux aller à la mer,
je ne peux plus attendre.
Le soleil sur la peau, la peau, la peau, les étoiles.
Je veux me souler
de larmes de sel
et ne plus revenir
dans un été qui d’un coup fait fondre la mélancolie
un été qui rebondit et d’un souffle s’envole
nous le ferons atterrir dans cette mer sans nageoire
avec le cœur à l’intérieur de l’âme.
On bronze sous notre amour.
Sous notre amour.
Sous notre amour.
Sous notre amour.
Sous notre amour.
Sous notre amour.
Sous notre amour.
1. Orthographe rectifiée de 1990.2. On devrait utiliser le verbe « amerrir » techniquement, mais bon.