Il me dit qu'il travaille tard,
il me dit qu'il ne peut pas rester longtemps.
Alors, j'éteinds les lumières.
Je me couche avant qu'il revienne.
Demain, je me réveillerai seule,
sensante cette solitude familière.
Mon coeur crie que ça l'agasse,
mais, chaque fois que je pense que j'en ai eu assez,
il revient et il m'embrace amoreux
comme il me donne un gateau, car il me sert suffisamment.
Pour que je croîre que l'éspoir à nous reste encore.
Néanmois, enfin, j'imagine des scénarios,
souhaitante que j'étais...
Souhaitante d'être suffisante à lui.
Il pense qu'il est souhaitable qu'il me dise des mensognes.
Il ne fait aucun effort de dissimuler,
donc, il ne me blessera.
Il m'a promis quelque chose qu'il ne peut pas faire.
Il ne peut rien me promettre.
Il dédie la moité de sa vie à moi.
Ça ne sera jamais assez.
Mais, chaque fois que je pense que j'en ai eu assez,
il revient et il m'embrace amoreux
comme il me donne un gateau, car il me sert suffisamment.
Pour que je croire que l'éspoir à nous reste encore.
Néanmois, enfin, j'imagine des scénarios,
souhaitante que j'étais...
Souhaitante que j'étais...
...convaincante pour que tu veuilles rester,
convaincante pour que tu partes.
Je ne veux qu'écouter de toi que mon amour est
assez pour que tu croîres qu'on peut continuer.
Néanmois, enfin, j'imagine des scénarios,
souhaitante que j'étais...
Souhaitante que j'étais...
suffisante.
Je sais que je ne serai jamais ça.
Oh, je n'étais jamais assez.
Assez,
assez,
oo,
assez,
assez,
assez...