Le père de la fille observe, en douce on peut imaginer
Il n'est plus parmi nous mais il a laissé cette chambre poussiéreuse
Et ton nom, c'est un honneur
C'est une honte mais c'est ton honneur
De le prendre sur tes épaules
Jusqu'à ce que tu puisses en trouver un autre
Ca suffit pour l'instant
Il n'aurait jamais du te laisser brisée
Il aurait du te porter
Les choses que ton Père ne t'a jamais dites
Ca suffit pour l'instant
Il ne t'aurait jamais laissée brisée
Il t'aurait portée
Les choses que ton Père ne t'a jamais dites
Le siècle avant toi, n'a jamais pu devenir le 21ème
Il a attendu pendant des années, guettant juste un fils
Quelqu'un pour aller de l'avant, pour prendre le nom à sa place
Il a attendu pendant des années, puis une fille est venue à la place
Ca suffit pour l'instant
Il n'aurait jamais du te laisser brisée
Il aurait du te porter
Les choses que ton Père ne t'a jamais dites
Ca suffit pour l'instant
Il ne t'aurait jamais laissée brisée
Il t'aurait portée
Les choses que ton Père ne t'a jamais dites
La respiration se fait en deux temps
Sauf dans deux cas
L'un commence, et l'au revoir de l'autre
60 ans de chagrin, tu en as eu 5 ou 6 de bonheur parfait
Tu as laissé la mère de ma mère
Sans vraiment plus qu'un baiser
Un baiser
Et ça suffit pour l'instant
Il n'a jamais voulu te laisser brisée
Il t'aurait portée
Les choses que ton père n'a jamais pu faire
Et ça suffit pour l'instant
Je ne t'aurais jamais laissée brisée
Je t'aurais portée
Les choses que ton père n'a jamais pu faire
Les mots que ton père ne t'a jamais dits
60 ans de chagrin, tu en as eu 5 ou 6 de bonheur parfait
Tu as laissé la mère de ma mère
Sans vraiment plus qu'un baiser