Mon cœur et la nuit sont complices
pour de quiétudes en inquiétudes
multiplier les maléfices
et forger mes incertitudes.
Tu pars une heure et le monde se vide,
et je me meurs, et ma vie prend des rides,
mais dès que tu parais, tout redevient limpide.
Encore et encore, et encore
serre-moi, dis-moi « je t’aime »,
nul ne peut m’étreindre et m’aimer mieux que toi.
Et l’amour, je ne le ferai qu’avec toi,
car même si un ange m’ouvrait les bras,
je ne volerais pas plus haut qu’avec toi.
Prostrée tout près du téléphone,
j’attends des heures et je m’inquiète,
et parle seule, et te questionne
le doute et la folie en tête.
Quand l’amour et le temps se coalisent,
je me sens prête à faire des bêtises,
mais tu pousses la porte et c’est partie remise.
Encore et encore, et encore
serre-moi, dis-moi « je t’aime »,
nul ne peut m’étreindre et m’aimer mieux que toi.
Et l’amour, je ne le ferai qu’avec toi,
car même si un ange m’ouvrait les bras,
je ne volerais pas plus haut qu’avec toi.
Encore et encore, et encore…
Encore et encore, et encore…
Encore, encore…
Encore et encore, et encore…
Encore, encore, encore…
Encore, encore et encore, encore…