Dehors, le vent souffle,
Dehors, il pleut,
Un hurlement terrifiant
Je t'observe tandis que tu dors,
En respirant doucement
Dans le calme de cette chambre
Tout ce que je ressens
Pleut de l'intérieur,
Averse d'électricité
Et en t'embrassant sur l'a joue
J'ai cru mourir,
Mon pauvre coeur se brisait
Je veux t'embrasser,
J'ai peur de te réveiller
J'entre dans ton rêve
Et te crie de loin
Que je t'aime
En une seule seconde
J'ai compris ce qui comptait et ce qui ne comptait pas
La fin du monde, la tempête, la douleur
Restent très loin de cette chambre
Dehors, le vent souffle,
Dehors, il pleut,
Un hurlement terrifiant
Mais un murmure nous enveloppe,
Nous étreint lentement,
Comme un mantra que tous deux connaissons
Ce ne sont pas des fantômes
Mais mon esprit qui parle
Il entre dans ton rêve et te crie de loin
Que je t'aime
En une seule seconde
J'ai compris ce qui comptait et ce qui ne comptait pas
La fin du monde, la tempête, la douleur
Restent très loin de cette chambre
Je veux t'embrasser,
J'ai peur de te réveiller
J'entre dans ton rêve et te crie de loin
Que je t'aime
En une seule seconde
J'ai compris ce qui comptait et ce qui ne comptait pas
Les déceptions et les mauvais présages,
Les jalousies, les intrigues
Qui compliquent nos vies
Restent, restent très loin de cette bulle de savon,
Notre bulle d'amour
Monte dans le ciel, au-delà de l'univers
Monte et éclate dans ton rêve