Tu es une menteuse, je le sais, avoue-le
Elma, encore, ça me fait encore mal
Même s'il faut se dire au revoir, je chanterai
Jusqu'à ce que la nuit vienne s'assombrir
Lors de l'aube avec les rayons du soleil passant à travers les feuilles, moi et Elma
Encore, est-ce que tu dors encore ?
L'été commence, la forêt de mai s'approche
Marcher avec des gouttes de fleur sur le visage
Regarde, on dirait des larmes
A ce rythme-là, bâillons
Et asseyons-nous à nouveau
Il n'y a rien que je puisse ne pas te pardonner
Si tu es aussi gentille que ça
Ainsi, quelque part dans un lointain pays
Je m'allonge dans les fissures du léger été
Les larmes et les mots ne sortent pas
Et je ne connais rien des profondeurs d'une simple nuit
Tu es une menteuse, je le sais, avoue-le
Elma, encore, ça me fait encore mal
Même s'il faut se dire au revoir, je chanterai
Jusqu'à ce que la nuit vienne s'assombrir
Comme je ne peux rien voir des choses pénibles et douloureuses, je ne comprends pas
Je me suis enfuie les yeux fermés
Marchant sur le chemin de clair de lune
Chambre étroite, nuits froides,
Midis ensommeillés, matins tristes
Sur ces mots d'adieux, je regarde ton visage
Ainsi, quelque part dans un lointain pays
Je m'allonge dans les fissures du léger été
Les larmes et les mots ne sortent pas
Et je n'ai vu que le bleu d'un simple ciel
Et je ne connais rien de la fin ou simplement de toi
Tu es une menteuse, je le sais, avoue-le
Elma, encore, ça me fait encore mal
Même s'il faut se dire au revoir, je chanterai
Jusqu'à ce que la nuit vienne s'assombrir