Je marchais seule sur ce chemin.
Une âme s'éveillait au loin.
Un âme si belle,
oh si belle que le ciel.
Elle était si jeune et si frêle,
et ses mots chantaient sans pareil
tout l'amour et la grâce,
et d'un dieu les merveilles.
Il est des vies sur nos chemins
qui nous révèlent ce destin
quand la terre et les cieux
sont bleus briller enfin.
De la plus belle voix d'enfant
et de son nom devenu grand,
touchons toutes les vies
qui s'ouvrent à l'infini.
Comment chacun de ces poèmes
qu'elle écrivait comme un homme seul,
un peu d'amour et une fleur
pour chaque jour.
Et dans les battements de son coeur
unis à ceux de son sauveur,
ses mots comme une braise.
Elle s'appelait Thérèse.
Si l'on se sait si solitaire
quand elle écrivait sur la terre.
Au coeur de chaque larme
c'est l'histoire de son âme!
Ses mots donnés comme l'amour
pour moi résonneront toujours,
pour ces millions de coeurs
qui cherchent le bonheur.
Et que sa vie résonne encore,
et nous dévoile ses trésors!
Ses mots comme une braise,
elle s'appelait Thérèse!
Elle s'appelait Thérèse!
Elle s'appelait Thérèse.
Elle s'appelait Thérèse.
Je marchais seule sur ce chemin.
Une âme s'éveillait au loin.
Ses mots comme une braise,
elle s'appelait Thérèse.