Maintenant jure moi sur dieu,
Que tu ne m'oublieras jamais,
Et si tu me dis qu'il n'y a pas d'amour,
Avec de la douleur je devrais partir.
Tu me laisseras avec beaucoup de peine,
Je porterais entre mes veines,
Le mépris de cet amour.
Et si pour des choses du destin,
Tu te repens sur le chemin,
Je n'accepterais pas tes excuses.
Et jure moi aussi mon cœur,
Que tu n'as pas oublié ces caresses,
Si a un moment de cette chanson,
Tu retrouve le souvenir de ce que je fus dans ta vie.
Si tu te rend compte que tu m'aimes encore,
Et que tout de suite tu me rejettes,
donne de l'honneur a ton coeur,
de penser que tu me méprises,
me tourmente de patience,
Et je me sens sans valeur.
Si cela est le mépris,
Celui que je mérite,
Dieu aide-moi,
Je te le demande mon seigneur,
Je sais que je suis coupable,
J'ai seulement voulu l'aimer
et j'ai feins en amour.
Si c'est une folie,
Le fait que tu m'aimes,
Alors ment-moi mon amour,
Et fais le avec pudeur,
Je préfère que tu fasses semblant,
A ce que tu sois sincère,
N’assassine pas l'illusion.
Si cela est le mépris,
Celui que je mérite,
Dieu aide-moi,
Je te le demande mon seigneur,
Je sais que je suis coupable,
J'ai seulement voulu l'aimer
et j'ai feins en amour.
Si c'est une folie,
Le fait que tu m'aimes,
Alors ment-moi mon amour,
Et fais le avec pudeur,
Je préfère que tu fasses semblant,
A ce que tu sois sincère,
N’assassine pas l'illusion.
Si cela est le mépris, je ne peux pas continuer,
Dis-moi un mensonge, et je le convertirait en ma vérité.
Si cela est le mépris,
Celui que je mérite,
Dieu aide-moi,
Je te le demande mon seigneur,
Je sais que je suis coupable,
J'ai seulement voulu l'aimer
et j'ai feins en amour.
Si c'est une folie,
Le fait que tu m'aimes,
Alors ment-moi mon amour,
Et fais le avec pudeur,
Je préfère que tu fasses semblant,
A ce que tu sois sincère,
N’assassine pas l'illusion.