Tu as bâti une maison dans mon cœur,
a construit pierre après pierre avec effort.
Tu t’es frayé un chemin à travers le bois et le métal.
Il y a maintenant une nouvelle maison dans mon village.
Tu as planté un arbre et quelques plantes.
Tu t’es bien entendu avec tous les voisins.
Puis, tu as dû voir une autre forme de liberté.1
et tu voulais dire que tu devais partir.
Tu as une place
et ça restera toujours, toujours comme ça.
Ça restera toujours, toujours comme ça.
Même si tu n’en as plus besoin,
mon chez-moi reste ton chez-moi.
Tu as une place
et çavrestera toujours, toujours comme ça.
Même si tu n’en a plus besoin,
mon chez-moi reste ton chez-toi.
Tu as une place.
Les feuilles tombent et demandent où tu es.
Un nouvel automne doré, à qui tu manques.
Chaque jour, je regarde dans ton jardin.
Une taupe a tout retourné.
Peut-être étais-je une petite partie de ton voyage,
un petit peu de chez-soi et un petit peu de logis.
Il y a maintenant une maison vide dans mon cœur
et elle me demande quand tu reviendras.
Tu as une place
et ça restera toujours, toujours comme ça.
Ça restera toujours, toujours comme ça.
Même si tu n’en as plus besoin,
mon chez-moi reste ton chez-moi.
Tu as une place
et ça restera toujours, toujours comme ça.
Ça restera toujours, toujours comme ça.
Même si tu n’en as plus besoin,
mon chez-moi reste ton chez-moi.
Tu as une place.
Tu as une place.
1. Littéralement : « Une autre liberté. »