Tu ne sors plus de ma tête, bébé.
Tu ne sors plus de ma tête, bébé.
Tu ne sors plus de ma tête, bébé.
Tu ne sors plus de ma tête, bébé.
Je sais que mes métaphores vallent térriblement peux,
Mais toi tu es pour moi un vrai tube pour les yeux,
Car peu importe, ou je me trouve et ou je vais,
Je vois toujours ton visage devant mes yeux fatigués.
À la place de te dire ce que je resens pour toi,
Je préfère m'enquiller une double dose de Vodka,
Et quand je te vois, je n'arrive pas à déserrer les dents
C'est bien pourquoi que je me baladerais seul tout le temps.
Mais aujourd'hui je saute sur l'occasion:
Tu ne sors plus de ma tête, bébé...
Ca j'y ai juste pensé, mais hélas pas raconté.
Je l'aurais presque fait, mais tu ne m'as pas demandé.
J'étais à deux doigts et une fois de plus je n'ai pas osé,
En d'autres mots, sans raison valable j'ai encore merdé.
Peut-être que j'ai la trouille, jusque la toutes m'ont dite
Que suis un typ vraiment sympa, mais que je parle un peu trop vite.
Allez, je me bouge un peu, j'me léve et je vais
vers toi la bas, mais je n'ai pas de sujet pour t'aborder:
"Euh, salut...pardon... ca fait longtemps que t'as une tresse?"
Tu ne sors plus de ma tête, bébé...
Voila que je l'ai dit, enfin je l'ai craché,
Et a ma grande surprise tu as l'air amusé!
Tu t'étais déjà dit, que en quelque sorte je devais t'aimer
Et t'interogais déjà, quand j'allais enfin l'énoncer.
Tu n'aurais jamais osé faire l'effort, car tout le monde dit que tu parle trop fort...
Tu parle trop et moi trop vite, bébé,
Ca va, comme la lumiere du jour et clarté, bébé
Je parle trop vite et toi trop fort, bébé,
Ca va, comme mari et mariée, bébé,
Et comme une casquette sur le chef, bébé,
Comme un médicament en perf, bébé,
Et comme un élastique sur une tresse, bébé.
Tu ne sors plus de ma tête, bébé...