Je me suis fabriqué un rêve, caché derrière des poubelles, dans un coin de jardin clos.
Je fais de la voile dans un pissoir bouché, mon chapeau est la lune, et le vent me peigne.
Les filles me lâchent au fur à mesure, le remords est en train de m'étouffer,
Je fouille en haut d'un tas d'ordure,
Mon dieu aimer que c'est difficile.
Je dois me battre avec mes soucis, de plus il y cet amour sans tête qui me colle.
Miroir, mon miroir dis-moi si tu cela m'irait bien.
Mes potes disparaissent au fur et à mesure, ils ont tous mieux à faire.
Ma solitude bruyante se réfléchie à la lumière pâle de la pleine lune.
Je dois me battre avec mes emmerdes, des moulins à vents hostiles avec un esprit troublé.
Mais il n'y a pas de danger, c'est juste mon imagination.
Ensuit arrivent les médecins les bras armés, et si le produit chimique pénètre dans la veine, le coeur du résidant d'une île inhabitée deviendra une limande qui devrait nager pas loin d' ici.
Je dois me battre avec mes emmerdes, un wagon de gonzesses en chapeau à clochettes ronflent à mes côtés,
J'en choisi une,
Laquelle me plaît, laquelle deviendra ma partenaire?