Né du silence, il en est rempli
Un parfait concert, mon meilleur ami
Tant de choses qui valent la peine de vivre et de mourir;
Si seulement mon cœur avait un foyer
Chante ce que tu ne peux dire,
Oublie ce que tu ne peux jouer
Empresse-toi de te noyer dans de beaux yeux
Entre dans ma poésie, cette musique agonisante
Ma lettre d'amour adressée à personne
Ne soupire jamais pour un monde meilleur,
Il est déjà composé, joué et dit
Chaque pensée repose dans la musique que j'écris
Tout est un souhait pour la nuit
J'ai écrit pour l'éclipse, j'ai écrit pour la vierge;
J'ai péri pour la beauté, celle qui se trouve dans le jardin
J'ai crée un royaume, j'ai atteint la sagesse;
Sans parvenir à devenir un dieu
Ne soupire jamais...
« Si vous lisez ces lignes, ne vous rappelez pas la main qui les a écrites mais seulement les vers, les pleurs du compositeur, celui sans larmes. Je leur ai donné leur force et elles sont devenues mon unique force. Une demeure sécurisante, les genoux d'une mère, la chance d'une immortalité, où être désiré est devenu un frisson qui m'était inconnu. Le doux son du piano compose ma vie »
« Enseigne-moi la passion car je crains qu'elle ait disparu;
Montre-moi l'amour, enlace celui seul au monde
Je voulais donner tellement plus à ceux qui m'aimaient
Je suis désolé
L'avenir nous le dira (Quel adieu amer)
Je ne vis plus pour faire honte ni à toi, ni à moi
Et toi... Si seulement je n'avais plus de sentiment pour toi... »
Une âme solitaire... Une âme océane...