Toute ma vie Dalila, j'ai voulu t'offrir
Et te payer le bonheur dont j'ai tant rêvé
Et tant tranquillement, hé,
Tu te moquais de celui qui te donnait sa confiance, hé.
Sans rancœur, je t'ai laissée et à cause de toi je me suis éloigné.
J'ai laissé l'amour que je ne voulais pas perdre
Mais sans moi tu ne pourras jamais plus rien avoir.
Comme en tentant le sort, je voulais t'aimer
Et t'avoir toujours dans mon cœur,
Mais toi tu riais,
Toute joyeuse, tu riais peut-être sans raison.
Mon pardon, Dalila,
Tu ne l'auras pas. Oublie
Le passé qui a été une telle nuit sans lumière
Et peut-être un jour mes bras en croix te chercheront encore.
Et toi, tranquillement,
Tu te moquais de celui qui te donnait sa confiance.
Mon pardon, Dalila,
Tu ne l'auras pas. Oublie
Le passé qui a été une telle nuit sans lumière
Et peut-être un jour mes bras en croix te chercheront encore.
Mes bras vides qui n'attendent rien sans toi.