Oh, oh, oh, oh.
Maintenant, tu dis que tu te sens seul,
tu pleures jusqu’au bout de la nuit.
Eh bien, tu peux me pleurer une rivière,
pleure-moi une rivière.
Moi, j’ai pleuré une rivière pour toi.
Maintenant, tu dis que tu es désolé
d’avoir été si infidèle.
Eh bien, tu peux me pleurer une rivière,
pleure-moi une rivière,
parce que j’ai pleuré, j’ai pleuré, j’ai pleuré une rivière pour toi.
Tu m’as rendue,
presque rendue complètement folle,
alors que tu n’as jamais versé une seule larme.
Tu te souviens ? Moi, je me souviens tout ce que tu as dit.
Tu m’as dit que l’amour était trop prolétaire.
Tu m’as dit que c’était fini avec moi.
Eh bien, juste pour prouver que c’est le cas.
Allez, pleure-moi une rivière,
pleure-moi une rivière, pleure-moi une rivière,
parce que j’ai pleuré une rivière pour toi.
Tu m’as rendue,
presque rendue complètement folle,
alors que tu n’as jamais versé une seule larme.
Tu te souviens ? Moi, je me souviens tout ce que tu as dit.
Tu m’as dit que l’amour était trop prolétaire.
Tu m’as dit que c’était fini avec moi.
Eh bien, juste pour prouver que c’est le cas.
Allez, pleure-moi une rivière,
pleure-moi une rivière, pleure-moi une rivière,
parce que j’ai pleuré une rivière pour toi.
Si mon oreiller pouvait parler,
imagine ce qu’il aurait pu dire.
Pourrait-ce être une rivière de larmes que j’ai pleuré dans mon lit ?
Alors tu peux me pleurer une rivière,
Chéri, vas-y pleure-moi une rivière,
parce que j’ai pleuré, comme j’ai pleuré une rivière pour toi.
Comme j’ai pleuré une rivière pour toi.