Écrit l'ai l'an soixante et un,
Que le bon roi me délivra
De la dure prison de Meun,
Et que vie me recouvra,
Dont suis, tant que mon cueur vivra,
Tenu vers lui m'humilier,
Ce que ferai tant qu'il mourra (1)
Bienfait ne se doit oublier.