Quand ton corps frôlait le mien au sol
La chaleur des instants s’envole
Et brûle d’un désir incertain
De prendre ta main
Sous le soleil on comptait les heures
Qui fanent comme fanent les fleurs
Incandescent comme notre amour
Dans son parcours
Et le temps d’avant
Nous tend ce que l’on caressait
À vif, nos vies, ne laissaient que nos
Cris au loin, crédules, nos peaux au crépuscule
Et pourtant j’espère encore que l’enfant que j’étais
Retrouve enfin, une parcelle de paix
De rires, de liberté, sans fin
Une belle histoire ne pourrait durer
C’est ce qu’on a compris à s’aimer
De part et d’autres, on vit sans cause
Ou peu de choses
Je ne sais plus si c’est notre amitié
Qui fût la première à gagner
Ton souffle me laissait sans frisson
Comme protection
Et le temps d’avant
Nous tend ce que l’on caressait
À vif, nos vies, ne laissaient que nos
Cris au loin, crédules, nos peaux au crépuscule
Et pourtant j’espère encore que l’enfant que j’étais
Retrouve enfin, une parcelle de paix
De rires, de liberté, sans fin
Et le temps d’avant
Nous tend ce que l’on caressait
À vif, nos vies, ne laissaient que nos
Cris au loin, crédules, nos peaux au crépuscule
Et pourtant j’espère encore que l’enfant que j’étais
Retrouve enfin, une parcelle de paix
De rires, de liberté, sans fin