Mon amour, mon amour
Rappelle-toi nos souvenirs
On était libre, on était libre
On avait toute la vie
Chaque jour, chaque jour
Semblent si loin, nos fous rires
À la folie, à la folie
Nos âmes sont en péril
À quoi bon tromper nos corps ?
Nos cœurs en désaccord le savent :
On a tous les deux tort
Je t'aurais pris dans mes bras
Et comme tous les soirs
J'aurais fait le premier pas
Oui, comme tous les soirs
On ne peut plus se mentir, se mentir
Comme tous les soirs
Laisser les mots nous trahir, nous trahir
Comme tous les soirs
Mon amour, mon amour
Mais que sommes-nous devenus ?
Des anonymes, des anonymes
Qui vivent dans le déni
Chaque jour, chaque jour
Un peu plus à la dérive
Mélancolie, mélancolie
Mais ton silence est pire
À quoi bon tromper nos corps ?
Nos cœurs en désaccord le savent :
On a tous les deux tort
Je t'aurais pris dans mes bras
Et comme tous les soirs
J'aurais fait le premier pas
Oui, comme tous les soirs
On ne peut plus se mentir, se mentir
Comme tous les soirs
Laisser les mots nous trahir, nous trahir
Comme tous les soirs
Oh, comme tous les soirs
Oh, comme tous les soirs
On ne peut plus se mentir, se mentir
Comme tous les soirs
Laisser les mots nous trahir
Mon amour, mon amour
Il est temps qu'on se le dise
Qu'on se délivre, qu'on se délivre
De ces chaînes invisibles
Je t'aurais pris dans mes bras
Et comme tous les soirs
J'aurais fait le premier pas
Oui, comme tous les soirs
On ne peut plus se mentir, se mentir
Comme tous les soirs
Laisser les mots nous trahir, nous trahir
Comme tous les soirs
Je t'aurais pris dans mes bras
Et comme tous les soirs
J'aurais fait le premier pas
Oui, comme tous les soirs
On ne peut plus se mentir, se mentir
Comme tous les soirs
Laisser les mots nous trahir, nous trahir
Donc au revoir