// Toutes choses en moi se transforment,
Elles sont comme la pluie en mer,
Qui se décompose ainsi en
Vagues, et qui me traversent,
Un corps souffre dans l’air
Avec un nom pour l’appeler.
Ce n’est que le nom d’un baptisé,
Nom pour l’appeler des
Nuages, vitrage, étendoir,
Aile, désir, jardin,
L’horizon là-bas au loin,
Tout ce que l’œil peut atteindre
Et que personne n’entendra,
Cela t’envahit sans désemparer
Et te transforme sans qu’on le remarque,
Phrases, voix, cœur,
Vagues, fréquences, signaux,
Le monde est trop vaste.
Toutes choses en moi se transforment,
C’est ainsi pour tout le monde
Et cela ne prendra jamais fin. //