Il ne reste pas grand-chose, il ne reste plus qu’un peu
Jusqu’au grand vide,
Il n’y a plus qu’un instant ou une heure
De tout ce qui a existé et ce qui nous reste encore.
Il ne reste pas grand-chose, il ne reste plus qu’un peu
Et j’essaierai de me reprendre
Et de rendre le calme
À mon esprit pour qu’il m’élève.
Je reviendrai dans les arbres, dans les fleurs,
Dans la folie des couleurs,
Il n’y a plus qu’une fraction de mon idée, de mon rêve.
Sans peine et sans dire un mot,
Je prends une poignée de terre,
N’importe combien de poussière ou de neige je prends sur mon doigt
Je reviendrai au fond de ceux qui viendront (après moi)
Ceux qui viendront ...
Ceux qui viendront ...
Ceux qui viendront ...
Il ne reste pas grand-chose, il ne reste plus qu’un peu
Et je pousse un cri vers le gouffre
Depuis le fond de mon esprit
Je regarde ceux qui vont venir.
Il n’y a plus qu’un instant ou une heure
Avant le grand repos.
Et je pousse un cri vers le ciel,
Pour déchiffrer ce mystère.
Le mystère est un rêve aujourd’hui,
Et les routes se sont ouvertes,
Et nous élèvent à nouveau jusqu’au ciel.
Sans peine et sans dire un mot,
Je prends une poignée de terre,
N’importe combien de poussière ou de neige je prends sur mon doigt
Je reviendrai au fond de ceux qui viendront (après moi)
Ceux qui viendront ...
Ceux qui viendront ...
Ceux qui viendront ...
Il ne reste pas grand-chose, il ne reste plus qu’un peu
Jusqu’au grand vide,
Il n’y a plus qu’un instant ou une heure
De tout ce qui a existé et ce qui nous reste encore.
Il ne reste pas grand-chose, il ne reste plus qu’un peu
Et j’essaierai de me reprendre
Et de rendre le calme
À mon esprit pour qu’il m’élève.
Je reviendrai dans les arbres, dans les fleurs,
Dans la folie des couleurs,
Il n’y a plus qu’une fraction de mon idée, de mon rêve.
Sans peine et sans dire un mot,
Je prends une poignée de terre,
N’importe combien de poussière ou de neige je prends sur mon doigt
Je reviendrai au fond de ceux qui viendront (après moi)
Ceux qui viendront ...
Ceux qui viendront ...
Ceux qui viendront ...