Ô Carole,
ne me regarde pas comme ça.
Ce soir, si je suis là,
c’est pour te dire
qu’il ne viendra pas.
Ça ne vaut pas la peine de pleurer pour ça.
Tu le remplaceras, d’ici huit jours, tu l’oublieras.
Maintenant dans tes yeux toute la joie s’est envolée.
Sèche tes larmes, oublie tout ça avec moi, viens danser.
Et quand il saura que tu t’es consolée dans mes bras,
ce jour-là, peut-être, enfin, il reviendra vers toi.
Ô Carole,
ne me regarde pas comme ça.
Ce soir, si je suis là,
c’est parce que tu es tout pour moi.
Tu danses dans mes bras mais tu es loin de moi.
Oui, tu penses à celui qui ne viendra pas,
mais je crois bien que c’est lui que j’aperçois là-bas.
Il vient tout droit vers toi, aussi tu lui souris déjà.
Il est trop tard pour moi, c’est bien fini.
Et oui, déjà, on dirait qu’il a changé d’avis.
Ô Carole,
ne me regarde comme ça.
Il y a trop de joie dans tes yeux,
c’est bien fini pour moi.
Ô Carole,
ne me regarde comme ça.
Il y a trop de joie dans tes yeux
c’est bien fini pour moi.