Comment le vent souffle dans les fenêtres,
Comment il pleut aujourd'hui,
Comment la rue est vide,
Comment le soleil se meurt,
Ces jours gris d'automne
Me rendent triste
Et dans la chaleur du feu de ma cheminée,
Je me souviens de toi aujourd'hui,
Je me souviens de toi aujourd'hui.
Toi, qui es toute ma vie,
La brise de printemps, la clarté,
Toi, qui souffres quand tu m'attends
Qui regardes les étoiles
Et qui soupires pour moi.
Comment le vent emporte ces feuilles,
Comment il pleut aujourd'hui,
Et comment il vole maladroitement dans le ciel
Ce moineau !
Ces nids sont devenus muets
Il n'y a plus d'hirondelles.
Et assis au crépuscule,
Je me souviens de toi aujourd'hui,
Je me souviens de toi aujourd'hui,
Toi, qui es toute ma vie,
La brise de printemps, la clarté,
Toi, qui souffres en m'attendant,
Qui regardes les étoiles
Et qui soupires pour moi.
Les parapluies passent lentement
Devant mon balcon,
Comme toujours, on entend l'horloge
Dans la salle à manger.
Ces jours gris d'automne
Me rendent triste
Et dans la chaleur du feu de ma cheminée,
Je me souviens de toi aujourd'hui,
Je me souviens de toi aujourd'hui,
Toi, qui es toute ma vie,
La brise de printemps, la clarté,
Toi, qui souffres en m'attendant,
Qui regardes les étoiles
Et qui soupires pour moi.
Comment le vent souffle dans les fenêtres,
Comment il pleut aujourd'hui.