Traversée par un chaleureux frisson,
Par des rêves fous plus grands que moi,
Et en vivant mille émotions contrastées,
Je repars de toi.
Au milieu des mille nuits passées,
Et des horizons que je ne vois plus,
De façon confuse entre les images floues,
Toi aussi, tu refais surface.
Tu sais, je pense tellement à toi,
Tu sais, je te sens si bien...comme si tu étais là,
Je t'ai tant attendu,
Tu sais, je pense tellement à toi.
Mon esprit voyage dans mes souvenirs,
Et parfois aussi dans ta nostalgie.
Il reste la douce tendresse qui
Laisse le temps s'arrêter en toi.
Mes yeux regardent des horizons et les couchers de soleil que je voudrais,
Mes mains se serrent sur des cœurs fatigués et fragiles.
Le temps qui ne vieillit même pas une photographie.
Mais de ce temps là, il me reste un grand vide en moi.
Dans ces brouillards dispersés par le vent,
Entre des labyrinthes de cristal bleu,
Apparaît le visage de celui qui est parti
Et ne revient plus.
Tu sais, je pense tellement à toi,
Tu sais, je te sens si bien...
Mon esprit voyage dans mes souvenirs,
Et parfois aussi dans ta nostalgie.
Comme la lumière d'un diamant fou qui
Reste pour toujours, pour toujours dans les yeux,
Dans les horizons et dans les couchers de soleil que je voudrais.
Le temps qui ne vieillit même pas une photographie.
Depuis toujours, des histoires de gens comme nous.