C'est comme aimer un lion que ne peut être dompté,
Je m'énerve en pensant ou en entendant ton nom
Retirant des dents de mon estomac,
Tu as été dévorée vivante
Mon sang remplit tes poumons,
Mon âme, tu es à l'intérieur
Mes pieds me portent sur les cendres des feux que tu as allumés, tu brûles les ponts derrière toi pour te sauver la face
Si je disais que je n'allais pas être hostile,
Pourrais-tu dire que tu en ferais autant?
Si nous sommes tous créés un peu brisés,
Dis-moi, à qui la faute?
Dis-moi, à qui la faute?
Je ressens quelque chose, jouant dans les blessures du regret, si on me laisse seul je ne cicatriserai pas, je vais creuser et creuser, égratigner et gratter, je vais me mordre les lèvres à cause de cette douleur que je ressens, jouant dans les blessures du regret
Une coupure ne peut guérir
À moins que tu ne la laisses tranquille
Je vais réouvrir la mienne chaque jour,
Exposant ainsi les os
Si je disais que je n'allais pas être hostile,
Pourrais-tu dire que tu en ferais autant?
Si nous sommes tous créés un peu brisés,
Dis-moi, à qui la faute?
Dis-moi, à qui la faute?
Mes pieds me portent sur les cendres des feux que tu as allumés, tu brûles les ponts derrière toi pour te sauver la face
Des blessures de regrets
Si je disais que je n'allais pas être hostile,
Pourrais-tu dire que tu en ferais autant?
Si nous sommes tous créés un peu brisés,
Dis-moi, à qui la faute?
Dis-moi, à qui la faute?
Nous sommes brisés, imparfaits,
Nous sommes tous faits de la même façon
Nous sommes brisés, nous sommes brisés, imparfaits,
Nous sommes tous à blâmer