Bonne nuit, solitude.
J’ai vu par la fenêtre
Ton corps de noirceur.
Je veux te donner la main
Comme la flamme d’une bougie
Donne la main à la nuit noire.
Je veux te donner la main
Comme la flamme d’une bougie
Donne la main à la nuit noire.
De tes doigts, solitude,
Tu dépeignes ma nostalgie
Bien trop coiffée.
Tu éparpilles les regrets à travers champ,
Et contre ma volonté,
Tu me rappelles ma vie avec elle.
Tu éparpilles les regrets à travers champ,
Et contre ma volonté,
Tu me rappelles ma vie avec elle.
Seulement voilà solitude,
Tu sais que l'angoisse fait souffrir
Quand on dénie l'amour.
Comme celui qui a perdu la raison,
Nous noyons notre amour
Dans l’orgueil qui nous aveugle.
Comme celui qui a perdu la raison,
Nous noyons notre amour
Dans l’orgueil qui nous aveugle.
Je te prie, sans feindre,
La main sur le cœur,
De ne plus me parler d’elle.
Bonne nuit, solitude.
Et maintenant je veux dormir
Car je sais que je vais rêver d’elle
Bonne nuit, solitude.
Et maintenant je veux dormir
Car je sais que je vais rêver d’elle.