[C. Bennington]
Je suis coincé dans ce lit que tu as fabriqué,
Seul avec un mauvais pressentiment.
J'ai vu clair dans tes dires,
Jusqu'aux secrets que tu t'es efforcés de garder.
C'est écrit sur ton visage,
Tous les mensonges coupent si profondément.
Tu n'en as jamais assez, tu prends,
Et prends et prends encore et n'en parle jamais.
Non, tu dois l'intégrer
Tu le rejettes, tu le rejettes
Non, tu ne l'intégras jamais
Rejettes-le, évanouissement, du sang dans tes yeux
Tu dis que ce n'est pas ta faute,
Et jure que je fais erreur.
Tu as dit que ce n'est pas ce que je crois,
Sans remord aucun pour la confiance que tu brises.
Tu cours mais de nouveau tu chutes,
Et suffoques dans tes propres embrouilles.
Tu n'en as jamais assez, tu prends,
Et prends et prends et prends encore,
Merde
Est-ce que tu écoutes ?
Non, tu dois l'intégrer
Tu le rejettes, tu le rejettes
Non, tu ne l'intégras jamais
Rejettes-le, tu le regettes
Non, tu dois l'intégrer
Tu le rejettes, tu le rejettes
Non, tu ne l'intégras jamais
Rejettes-le, évanouissement, du sang dans tes yeux
[M. Shinoda]
Et flottant, tandis que les couleurs teintent la lumière
Nous levons les yeux d'en bas, depuis un champ de fleurs blanches
Et flottant dans les cieux, tu nous rends visite la nuit
Un futur contemplant, un passé à réécrire
Alors descends, bien en bas
Nous avons attendu pour récupérer ce que tu sais
Descends, bien en bas
Nous avons attendu pour récupérer ce que tu n'as pas su retenir
[M.Shinoda and C. Bennington]
Descends, oh.
Descends, oh.
Descends.
Descends, oh.
Descends, oh.