M’embrassez sur la bouche, et libérez-moi.
Chantez-moi comme un choir.
Je peux être le sujet de vos rêves.
Votre désire ignoble.
Ne voulez pas voir d’un homme près de vous ?
Un phénix dans le feu.
Donc, m’embrassez sur la bouche, et libérez-moi,
mais ne piqueriez pas.
Vous pouvez amadouer le froid en dehors de moi.
Drapez-moi dans votre chaleur.
Le bonheur dans le noir me rend calme.
L’œil aveugle d’une tempête.
Soyez-nous bien dans nos peaux,
pour que vous renaissiez.
Et m’embrassez sur la bouche, et libérez-moi,
mais ne piqueriez pas.
Je vous fends le cœur pour tenter le diable,
car qui a le temps pour grandir ?
M’embrassez sur la bouche.
M’embrassez sur la bouche.
M’embrassez sur la bouche, et libérez-moi.
M’embrassez sur la bouche, et libérez-moi.
M’embrassez sur la bouche, et libérez-moi.
M’embrassez sur la bouche, et libérez-moi.
M’embrassez sur la bouche, et libérez-moi.
Chantez-moi comme un choir.
Je peux être le sujet de vos rêves.
Votre désire ignoble.
Ne voulez pas voir d’un homme près de vous ?
Un phénix dans le feu.
Donc, m’embrassez sur la bouche, et libérez-moi,
mais ne piqueriez pas.