endormi, je regarde ton apparence que j'aime le plus.
tes cheveux sont en bataille, le visage enfui dans l' oreiller.
comme un petit déjeuner du dimanche.
petits jeux, grandes guerres.
entre autre une passion qui est la notre
comme le sommeil d'une nuit de dimanche..
quoique je fasse ça ne serait plus comme avant.
la fin de notre amour est de plus en plus nécessaire, tout les deux, Nous le comprenons.
alors pourquoi pleurons nous jusqu'à maintenant.
quoique je fasse ça ne serait plus comme avant.
Je ne ris pas , je ne pleure pas , personne n'est comme toi.