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Beneath The Howling Stars [French translation]
Beneath The Howling Stars [French translation]
turnover time:2024-10-06 01:16:22
Beneath The Howling Stars [French translation]

La mi-hiver enfreint les rites du Printemps

Son frisson spinal ratisse la terre

Pendant que de pensives âmes à zéro chantent

De tristes nouvelles de renaissance.

Sous les regards froids de Mars calomnié

Les suicidés imminents donnent leur parole d'honneur

Et les non-nés se tordent dans des saumures tiédasses

Car quelque chose de mauvais commence par ici

Sous les étoiles hurlantes

Elisabeth, modèle de vice

Regarde le soleil enflammer les bûchers

Alors que Fléau et Tyrannie, Ses dobermans dorment

Comme des amants envoûtés à ses pieds

Un tintement de cloche dehors

Dresse les molosses, les dents grinçantes

De leurs traîneaux hâtés à travers le neige illuminée de rouge

Des invités sont aperçus depuis les rebords de la mansarde

Un grand miroir lugubre dit à Son visage

Qu'elle les aveuglera tous

Que les corps célestes tomberaient en disgrâce

Pour posséder une pâleur si brillante

Car la beauté toujours est cruelle

Car la beauté toujours est.....

(Que la destinée enchaînée commence...

La damnation sous des dieux cherchant récompense

Se soumettant aux caprices de leur maîtresse)

Comme la danse s'ensuivait

L'humeur d'Elisabeth,

Trempée par l'oeuvre d'une lune vitreuse,

Grandit dans une élégante froideur noire

Pour consumer.

La jeune fille que Sa tour avait emmurée

S'occupant de Sa toilette

Subit le poids de la tempête

Lorsque l'aiguille alla de travers

Elle envoya ses chiens mutiler les poignet de la chienne.

Ainsi restaurée jusqu’à une satiété béate

Cette éviscereuse

Descendit pour le bal

Avec du sang peint sur les lèvres

Passant comme une comète d'une blancheur telle

Qu'elle faisait éclipse

A la valse qui s’était arrêtée, captivée

L'air était dépourvu du moindre souffle

Même la mort palissait en comparaison

Avec la souillure de sa splendeur

Si rare et compromise

Sur la foule sidérée qui était rassemblée

Là.....

Sous les étoiles hurlantes

Elle dansait, si macabre, que

Les hommes fascinés devinaient à Son allure

Que cet ange, descendu d'un piédestal,

Avait été exempté par le destin

En s’arrêtant dans des sphères obscures

Se réjouissant dans l'emprise exercée

Car elle n’était pas sans rappeler la Déesse

A laquelle hurlaient les loups

"Ce durant, l'envie dardait les regards

De jeunes filles à la cour qui, sous les tonnelles,

Chuchotaient en sectes

Les soupçons qui courraient

Selon lesquels Elisabeth jetait des sorts.

Vois comme à l'instant même cette putain jette

Ses envoûtements sur le Comte Noir

Que Ses lèvres rougies détiennent fermement"

Langue sur langue

Balayés par les vagues sans prêter attention

Aux harpies qui unissaient

Leur regards médisants

Une auréole de corbeaux ébouriffait Ses cheveux

Les lustres une tiare

Pour les passions prises au piège.

"Des phantasmes s’exercèrent

Lorsque leur regards rêveurs se croisèrent

Leur friction usa un chemin

A travers les mers de préliminaires

L'amour à la première morsure

Elle, une Ève tentée de s'allonger

Haletant vers le plafond

Leur chairs pressées en un ballet"

Mais par caprice, les honneurs mis en laisse

Elle fuit en secret le festin

Pour errer au pays des merveilles

Bêtes en main depuis le Donjon

Des dilemmes féodaux

Bien couverte de fourrures

A travers la herse pour regarder

Les étoiles du Grand Chien hurler à la terre

En cette violente nuit

Cette nuit impie

Les vents lièrent ensemble leurs membres

Alors que l’Éther défoulait sa malveillance hivernale

Elle désirait son baiser sur Ses paysages gelés

Pour stimuler la morne avancée

Depuis les charmilles du château

Dans lesquelles au petit matin

Le diable jamais ne venait par hasard

Un unique charme attaché dans le creux de Sa cuisse

Envoyait une nova de désirs alors que les sabots foulaient

Les rues pavées où des volées de crapules

Étaient jetées vers un dieu capricieux

La mi-hiver enfreint les rites du Printemps

Son frisson spinal ratisse la terre

Pendant que de pensives âmes à zéro chantent

De tristes nouvelles de renaissance

Sous les regards froids de Mars calomnié

Les suicidés imminents donnent leur parole d'honneur

Et les non-nés se tordent dans des saumures tiédasses

Car quelque chose de mauvais commence par ici

Sous les étoiles hurlantes

Martelant sur le sillon des indigents

A portée de voix d'une vieille femme bossue

Elisabeth le taquina, oserait Il satisfaire

Des entrailles aussi vieilles et enflammées ?

A cette pique, Il feignit un sinistre dédain

Jouant pour Ses yeux assassins

Mais la vieille rétorqua...

"Cette jouvencelle qui fait des reproches

Sera bientôt aussi gangrenée par l'âge que moi."

Son consort s'esclaffa d'un panache de souffle glacé

Car la grâce d'Elisabeth pourrait hisser

Un drapeau blanc dans le paradis brûlant

Ou ressusciter les morts de leurs tombes précoces

Et pourtant, elle bouillait

Cette fière Reine des Neiges

Aigrie par la maudite réplique

Et parce qu'Il recherchait l'assaut de Son amour

Il étripa la vieille mégère pour le plaisir

Bientôt, dans la fièvre de la pleine lune ils furent mariés

Lycanthropiques dans le lit conjugal

Jonché d'aphrodisiaques

Pour se moquer de l'union dynastique

Et engendrer du futures forcenés

Elisabeth

Les rennes franches, désormais Comtesse

Exerça et revêtit à l'usure

Son titre comme une robe favorite

Pendant que son Seigneur dévoyé

Dont les saisons savouraient la guerre

Assiégeait les ténèbres pour abattre les infidèles

Ses braises, au fort tempérament, grondaient,

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