Chant intemporel, réserve sans frontières,
Éclat fulgurant de l'aube,
Lumière du monde qui se lève,
Je comprends ton chagrin séculaire,
Forêt de Bialowieza, forêt de Bialowieza.
Je comprends ton chagrin séculaire,
Forêt de Bialowieza, forêt de Bialowieza.
On a oublié depuis longtemps notre abri parental
Et parfois quand j’entends l’appel des ancêtres
Par l’oiseau gris des forets de siècles lointains
Je vole vers toi, forêt de Bialowieza.
Par l’oiseau gris des forets de siècles lointains
Je vole vers toi, forêt de Bialowieza.
Par le sentier discret je m’achemine vers le ruisseau,
Là où l'herbe est haute, où le sous-bois est épais,
Comme le cerf, à genoux je bois ta sacrée
Vérité cristalline, forêt de Bialowieza.
Comme le cerf, à genoux je bois ta sacrée
Vérité cristalline, forêt de Bialowieza.
Avec le cœur réchauffé chez les grands bouleaux,
J’emporterai avec moi comme réconfort pour les vivants,
Ta mélodie précieuse, ton chant miraculeux,
Forêt de Bialowieza, forêt de Bialowieza.
Ta mélodie précieuse, ton chant miraculeux,
Forêt de Bialowieza, forêt de Bialowieza.
Ta mélodie précieuse, ton chant miraculeux,
Forêt de Bialowieza, forêt de Bialowieza.