Chaque mot qui s'échappe de bouche est comme des flèches tirées d'un arc
Les mots sont parfois un trésor, parfois une maladie incurable
Parler du passé hier n'est pas savoureux
Se plaint-on toujours des lendemains futurs?
J'ai perdu le fil de mon esprit, laisse couler les larmes de crocodile
Quelques gouttes ne valent rien
Dans les griffes des ténèbres et du destin est un géant ; alias inutile
Les nuits et les jours sculptent la vie, le monde ne tourne pas sans un ami
Aujourd'hui, la vie c'est une demi-journée, que mes pensées soient libres
Mes mains ne peuvent pas nettoyer ta poussière de ma peau
L'existence quitte l'âme ; quand mes yeux quittent les tiens
Mon amour est comme de l'or, aussi précieux que tu pèses
Sans toi, je ne veux dire que du vide, mon cœur te fatigue
La maladie même appelée amour; est un vieux renard rusé dans un sol stérile
Ma tête baisse, tout est comme un rocher qui me bloque le chemin
Tes lèvres se marient avec le verre, compagnon brumeux
Ceux qui voient diraient; c'est stupide de construire une maison dans un ruisseau
Les vents ne me briseront pas les dents, si le cœur est aveugle, il ne verra rien
Les secondes font du shopping avec les minutes
Les heures t'éloignent de moi, j'ai peur qu'il n'y ait pas de retour en arrière
Le désir est un invité coquin qui éteint les lumières de mes yeux
Le beau visage est une bougie morte, la séparation est un venin cruel
Angel cache son visage près de moi, le destin me regarde
Tu es le seul à arrêter cette tristesse, laisse ta peau de soie toucher la mienne
Si le vent agite tes cheveux, mes yeux deviennent heureux
Mes oreilles se réveillent avec ton nom, mes paupières s'ouvrent avec ton visage
Je fais errer ma plume ton nom dans mes meilleurs poèmes
"Tu es le fantôme de ma chambre, je suis amoureux de ton silence"
[REFRAIN]
Mon vétérinaire, le remède de mon chagrin, n'est pas là
Tiens-moi, pour que je puisse rester en équilibre
L'aube est le firman du soleil, le chagrin des jours comptés s'en va, à peine ou facilement
Mais l'ange est d'un côté, le diable est de l'autre
Ma tête est une prison, il y a un vide, combien de fois je me suis plaint, je ne sais pas
J'ai appuyé ma tête contre le mur, tes épaules ne sont pas avec moi
Les mecs sont fantaisistes, mais tu me suffit !
J'ai pas le pouvoir, peut-être que je suis un nain au pays des géants
Mon chagrin vient avec ton silence, je suis enterré mort en ton absence
Je suis l'un des clients amoureux de cet âge
Je jure ma solitude, je me plains en ton absence
Même si vous ne revenez jamais ; sache que je suis seul de garde
J'ai commencé une guerre contre mes erreurs ; Je suis dans un linceul différent chaque jour
La vie est les pages d'un journal intime ; ils tombent à l'automne
Que pouvez-vous apporter avant de venir ? Que pouvez-vous garder en allant?
Acceptez votre chagrin, obtenez votre remède, le chagrin consume le cœur
A chaque instant je regarde ton visage, une partie du paradis est vue
Les ruines antiques dans les quartiers de coeur ne sont pas gaies avec le sourire
Les heures passent mal avec cette manière trompeuse
Mes contes de fées avec toi ne sont pas assez courts pour être racontés
Dans la cité de l'amour, il y a des nains d'un côté et des géants de l'autre
[REFRAIN]
Mon vétérinaire, le remède de mon chagrin, n'est pas là
Tiens-moi, pour que je puisse rester en équilibre
L'aube est le firman du soleil, le chagrin des jours comptés s'en va, à peine ou facilement
Mais l'ange est d'un côté, le diable est de l'autre
Ma tête est une prison, il y a un vide, combien de fois je me suis plaint, je ne sais pas