Oh cruelle destinée, ingrate destinée
à tous, elle nous amollit le cœur dans la poitrine
Pensant à cette liberté passée
Enfin est arrivé ce jour funeste
D’abandonner les plaisirs pour les tourments
Oh Dieu ! Quel triste jour est pour moi celui-ci
Adieu Corse ! Mère-patrie tant aimée
à me séparer de toi sans retour,
Oh quelle douleur dans mon âme inconsolable
Oh cruelle destinée, ingrate destinée
à tous, elle nous amollit le cœur dans la poitrine
Pensant à cette liberté passée