Les autels de l'amour, sont alignés ici,
ces pensées dans ta tête, ont été taillés dans la pierre.
Les mains douces y ont déposées des porte jarretelles, des chaînes,
des lettres, des médaillons, des cigarettes cassés.
Il y a le crucifix en or, qui avait brillé sur une poitrine,
Sur le sol traversé par les racines des arbres anciens.
Les pierres sacrificielles sont alignés ici,
les soupirs, les murmures sont été conservés dans la pierre.
Tu vois un ombre maigre dans une robe de marié,
en train de prier. Odeur d'effacement dans tes narines,
en marchant dans cette parc dans les feuilles décomposés.
Il y a des pièces qui ne sont valables depuis des siècles.
Vieux peigne en os, avec quelques dents cassés.
Immobilise-toi et amène tes bidules sur l'autel.