Elle a touché le fond et ne part pas
Elle embrasse le fond et continue ici
Dans le chagrin qui s'acharne
Il n'y a pas de remède ni de stratagème
Simuler ne guérit pas non plus.
Elle voyage vers le ciel et ne s'en va pas,
Elle arrive au ciel et revient à moi
Elle s'installe dans la pénombre,
prie un espoir absurde
et continuer c'est résister.
L'oubli serait peut-être,
une tiède consolation
Tant de croisées de chemins
Où nous emmèneraient-ils?
Comme la lune qui ne cache pas
sa plus grande splendeur
sans savoir où, où
irait s'arrêter son éclat
Elle sillonne la mer et ne s'en va pas,
Elle frole la mer et reviens vers moi
ce sont des desseins trouvés
dans un monde enmêllé
marionnettes sans cordelette
Elle fauche le vent et ne s'en va pas
Elle bat au vent et et continue ici
Il n'y a pas d'amour comme celui qui est interdit
Il n'y a pas d'erreur dans le destin
Seul des rêves inaccomplient
L'oubli serait peut-être,
une tiède consolation
Tant de croisées de chemins
Où nous emmèneraient-elles?
Comme la lune qui ne cache pas
sa plus grande splendeur
sans savoir où,
où irait s'arrêter son éclat
Elle voyage dans le temps et ne s'en pas,
Elle pause le temps et continue ici
Fidèle refflet du passé
dans l'attente le dévoilement
d'un chapitre sans fin
Elle entre dans le rêve et ne part pas
Elle lache le rêve et revient à moi
habitante enchainée
d'un paysage désolé
une autre vie que j'ai vécu
L'oubli serait peut-être,
une tiède consolation
Tant de croisées de chemins
Où nous emmèneraient-elles?
Comme la lune qui ne cache pas
sa plus grande splendeur
sans savoir où,
où, irait s'arrêter son éclat?
sans savoir où,
où, irait s'arrêter son éclat?
sans savoir où,
où, irait s'arrêter son éclat?